Dans un monde de plus en plus connecté, il est rare de voir des organisations se déconnecter des réseaux sociaux.
Cependant, CToulon Magazine, La Communauté Toulonnaise et MarcoX ont fait exactement cela.
Pourquoi ? La réponse est simple : ils estiment que les réseaux sociaux ne sont plus des lieux de débat démocratique sain.
Ces organisations ont exprimé leur préoccupation face à la montée de la haine, des polémiques et des buzz inutiles sur les réseaux sociaux. Elles ont été particulièrement dérangées par les titres de journaux “putaclic”, qui cherchent à attirer l’attention plutôt qu’à informer de manière précise et équilibrée.
De plus, elles ont critiqué le rôle des influenceurs, qui, selon elles, n’influencent que les personnes facilement influençables. Elles ont également exprimé leur mécontentement face aux artistes et sportifs qui donnent leur avis non sollicité sur divers sujets.
En outre, elles ont déploré la présence de “haters”, de personnes haineuses et d’extrémistes qui, selon elles, ont “tué” les réseaux sociaux. Elles ont également mentionné la présence de contenu pornographique, d’images choquantes et d’autres contenus non modérés comme facteurs contribuant à leur décision de quitter les réseaux sociaux.
En fin de compte, CToulon Magazine, La Communauté Toulonnaise et MarcoX ont décidé que les réseaux sociaux ne leur offraient plus la valeur qu’ils recherchaient. Ils ont choisi de se concentrer sur d’autres moyens de communiquer avec leur public, dans l’espoir de favoriser un dialogue plus sain et plus constructif.
Un retour aux sources : les forums et le bouche-à-oreille
CToulon Magazine, La Communauté Toulonnaise et MarcoX ont exprimé une préférence pour les forums, qu’ils considèrent comme des espaces plus propices au débat d’idées et à l’entraide.
Contrairement aux réseaux sociaux, où l’information est souvent éphémère et superficielle, les forums permettent des discussions plus approfondies et une meilleure modération du contenu.
Ces organisations estiment également que l’information n’a pas besoin de transiter par les réseaux sociaux. Elles croient en la valeur de l’information de qualité, qui peut être recherchée et trouvée par ceux qui en ont besoin, plutôt que d’être poussée vers un public indifférencié.
CToulon Magazine a annoncé qu’il continuerait de fonctionner sur le mode du bouche-à-oreille, qui avait fait son succès en 2005/2006. Cette approche permet une diffusion organique de l’information, basée sur la confiance et les relations personnelles.
Enfin, ces organisations comptent sur l’aide des moteurs de recherche comme Bing ou Google pour rendre leur contenu accessible à ceux qui le recherchent. Elles reconnaissent le rôle crucial que jouent ces outils dans la diffusion de l’information à l’ère numérique.
Le bouche-à-oreille offre plusieurs avantages pour CToulon Magazine :
- Crédibilité accrue : Les recommandations de personnes de confiance sont souvent perçues comme plus crédibles que les publicités ou les promotions sur les réseaux sociaux.
- Ciblage précis : Le bouche-à-oreille permet de toucher un public spécifique qui est susceptible d’être intéressé par le contenu du magazine.
- Engagement du public : Les personnes qui découvrent CToulon Magazine par le bouche-à-oreille sont plus susceptibles de s’engager activement avec le contenu, car elles ont été recommandées par quelqu’un qu’elles connaissent et en qui elles ont confiance.
- Coût efficace : Le bouche-à-oreille est une forme de publicité gratuite. Il n’y a pas de coûts associés à l’achat d’espace publicitaire ou à la gestion de campagnes publicitaires.
- Longévité : Contrairement aux posts sur les réseaux sociaux qui peuvent être rapidement oubliés, le bouche-à-oreille peut avoir un effet durable à mesure que l’information est transmise de personne à personne.
En somme, le bouche-à-oreille permet à CToulon Magazine de construire une communauté engagée et fidèle, tout en économisant les coûts associés à la publicité traditionnelle. C’est une stratégie qui a fait ses preuves pour le magazine depuis 2005/2006.
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