Le parti lepéniste, incarné localement par la députée Laure Lavalette, espère reconquérir la ville qu’il gérait de 1995 et 2001. Il est aidé par le retrait forcé l’an dernier de l’ex-maire Hubert Falco.
En 2026, Toulon aura-t-il un maire issu des rangs du Rassemblement national (RN) ? La question pouvait prêter à sourire au lendemain du mandat catastrophique exercé par Jean-Marie Le Chevallier, l’ancien directeur de cabinet de Jean-Marie Le Pen devenu maire de Toulon en 1995 avant d’être sèchement battu en 2001. Elle suscite désormais des crispations de mâchoires au sein des états-majors politiques de la capitale du Var.
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